À couteaux tirés

Acier ou céramique? La question se pose plus que jamais à tous les amateurs de cuisine qui débitent légumes, poissons et viandes au quotidien. Quand les lames croisent le fer sur fond de duel aiguisé… il faut trancher.

1– En céramique. Elle séduit pour son tranchant fiable, ce qui n’est pas forcément le cas de son homologue dont l’efficacité dépend de la dose de carbone ajoutée à l’acier lors de sa fabrication (mais mentionnée sur aucun emballage). Autre atout: la lame n’est pas attaquée par l’acidité des aliments. Mais c’est surtout pour la précision de sa découpe qu’elle plaît: le poisson cru, par exemple, n’y résiste pas. Point noir? Sa fragilité. Si elle tombe à terre, fini les sashimi.

2– En acier. Elle offre un éventail de prix plus souples, même si son adversaire a tendance à être moins cher quand on monte en gamme. Bien sûr, robustesse et durabilité distinguent les couteaux fabriqués avec de l’acier, particulièrement ceux en acier inoxydable (ils font valoir 13 à 18% de chrome). Et ce, peu importe l’alliage. Mais il nécessite un entretien régulier et minutieux, ce qui n’est pas négligeable en termes de contraintes.

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