Aux yeux de l’écrivaine,  » Barberine est un personnage à la Tim Burton. Elle doit apprendre à faire avec sa différence clivante « . Or plusieurs forces s’opposent en elle : son cerveau et ses seins. Pleins de personnalité, ces derniers font preuve d’originalité en prenant la parole tout au long du roman. Une trouvaille permettant d’assister à la mue d’une femme qui a du mal à s’accepter.  » On présente nos seins comme des sacs Vuitton, synonyme de séduction, or le corps c’est nous.  »

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