Roadster, citadine ou coupé ? Difficile de choisir le terme précis pour désigner ce modèle décalé siglé Renault. Un modèle hors norme à apprécier hiver comme été.

Ce modèle cache bien son jeu…

Une voiture roadster-citadine-coupé qui, outre ces trois éléments, ajoute l’originalité de sa ligne marquée par une ceinture de caisse haute et une poupe massive, un confort appréciable et une position de conduite assez haute pour ce genre de véhicule. Autre élément de séduction : sa singularité qui capte le regard. Pour conductrice fana d’exclusivité !

Son habitacle

Cette stricte deux places est cosy et confortable. Le tableau de bord affiche des compteurs placés derrière le volant (hélas uniquement réglable en hauteur), tandis que les informations de l’ordinateur de bord et l’autoradio sont au centre. La commande du toit se loge au pied de la console centrale. À noter : des sièges hyperconfortables où l’on est impeccablement soutenu. Trois bémols : les montants de pare-brise imposants et la toute petite lunette arrière offrant une visibilité pour le moins réduite ainsi qu’une casquette translucide sur le bloc d’instrumentation générant de nombreux reflets en plein soleil.

Sur la route

Train avant rigoureux, moteur agile et pétillant permettent un comportement routier dynamique. Le plaisir de conduite en ville ou sur autoroute est bien présent. On notera juste une boîte de vitesses  » accrocheuse  » dans les changements de rapports.

Son plus

Son toit, bien entendu ! La cinématique reprend celle étrennée par la prestigieuse Ferrari Superamerica. Son principe : il pivote autour d’un axe pour aller se poser sur le couvercle du coffre. Ou plutôt en dessous puisque celui-ci s’ouvre en sandwich pour accueillir le toit et le protéger. Le tout en 9 secondes (à l’arrêt uniquement). L’intérêt de ce système : proposer un coffre de 270 l bien dégagé et non encombré par le toit.

RENAULT WIND

Moteur

1,6 16V de 133 ch

Consommation moyenne

7 l

Émission de CO2

165 g/km

Prix de base

À partir de 17 450 euros

Wind sportive

Cette petite Wind a été développée par le département Sport, sans nul doute un gage du savoir-faire de Renault en matière de comportement routier. Son prix serré s’explique en partie par l’emploi à 60 % d’éléments communs avec la Twingo et la Clio 2. Ses deux moteurs par exemple ont déjà été vus pour l’un (le 1,2 développant 101 ch) sur la Twingo, la Clio et la Modus et pour

l’autre (le 1,6 16V ) sur la Twingo RS.

CHANTAL PIRET

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