Une fois le jetlag et les 8 heures d’avion digérées, j’ai réussi à reconnecter mes deux neurones de blonde et j’ai pigé : les invitations pour les défilés (cf mon angoisse de jeudi, quand je n’en avais quasiment pas trouvé en arrivant à la Fashion Week) n’arrivent pas forcément à l’hôtel.
Une fois le jetlag et les 8 heures d’avion digérées, j’ai réussi à reconnecter mes deux neurones de blonde et j’ai pigé : les invitations pour les défilés (cf mon angoisse de jeudi, quand je n’en avais quasiment pas trouvé en arrivant à la Fashion Week) n’arrivent pas forcément à l’hôtel. Et, de toute façon, ça n’a pas tellement d’importance puisque, avant d’accéder à la salle où a lieu le show, carton ou pas, il faut se réenregistrer électroniquement auprès d’une hôtesse – on n’en attendait pas moins d’un pays qui consigne les empreintes digitales et rétiniennes du moindre touriste franchissant ses frontières. B(l)on(d) sang, mais c’est bien sûr!
Delphine Kindermans