Milan Fashion Week : J3 et 4

Dirk Bikkembergs s’est associé à l’équipementier Arena pour créer des vêtements de bain. Par ailleurs, le Belge imagine des imprimés… tomate, clin d’oeil au plat de spaghetti que tout athlète qui se respecte avale avant la compétition. Pourquoi pas.
Chez D&G, la ligne jeune de Dolce&Gabbana, c’est la fête aux imprimés, grosse tendance de la saison.
Chez Gucci, Frida Gianini dit s’être inspirée de la mythique Savile Row des années 60 et 70, époque qui vit le temple de la tradition british bousculé par de nouveaux designers plus turbulents : « J’ai imaginé un club pour gentlemens, peuplé d’aristocrates, dandys, et rock stars, qui aiment jouer avec les traditions ».
On dit merci à cette jeune fille qui nous indique entre chaque défilé où se trouve la navette qui emmène les journalistes sans chauffeurs.
Chez Canali, on embarque à bord du Darjeeling Express : ambiance 100% India
Les blogueurs se professionnalisent : devant les shows, vivier de looks improbables, certains shootent désormais avec un assistant lumière.
Si vous en doutiez, nous sommes bien à Milan.
L’imprimé est un grande tendance de l’été prochain. Chez ZZegna, la petite soeur nerveuse de la ligne Ermenegildo Zegna, Alessandro Sartori le confirme. Il s’agissait par ailleurs de la dernière collection de l’actuel D.A. qui s’en va lancer une ligne de prêt-à-porter chez le chausseur Berlutti. Une dernière collection chromatiquement très réussie.
Hors des podiums, le mannequin se reconnait à son look de plage et à son plan de Milan fourré dans la poche arrière.
Donatella Versace vient saluer vêtue d’une des robes qu’elle produira à l’automne en collaboration avec le géant suédois H&M.
Il y avait peu de stars à Milan cette saison. Sauf chez Versace. Qui sont-ils ? Réponse à la photo suivante.
Pour les journalistes peu au fait des séries télé, le service de presse de Versace est là pour les sauver de l’ignorance.
Niveau collection, la marque à la méduse revisite ses archives.
Et fait exploser le coloromètre.
No comment.
Groupe de musique cubaine et mojito chez Brioni qui se replonge dans le Cuba très classe des années 50.
Les frères Dsquared ont imaginé un show en quatre tableaux. Chacun évoque, vu d’Amérique, les clichés sur le style à l’européenne. Premier tableau : la Scandinavie.
Les Cyclades et leurs musclors très chauds très bronzés, et très très gay.
Les frimeurs italiens.
Les punks londonniens. Fun.
L’espadrille sera définitivement une des pompes de l’été prochain. Giorgio Armani confirme.
L’empereur milanais signe par ailleurs un vestiaire très sport faisant la part belle aux motifs géométriques.
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