Mardi passé, la maison Estée Lauder, qui regroupe de multiples marques de cosmétiques comme Aveda, Clinique, DKNY, Tommy Hilfiger, Lab Series, organisait à son tour ses portes ouvertes.
Mardi passé, la maison Estée Lauder, qui regroupe de multiples marques de cosmétiques comme Aveda, Clinique, DKNY, Tommy Hilfiger, Lab Series, organisait à son tour ses portes ouvertes pour les journalistes.
Non, je ne vous parlerai pas dans ce post des nouveautés en parfum, crèmes de soin et autres douceurs pour le visage et le corps de ces différentes gammes car vous aurez le loisir de les découvrir tout au long de l’année 2011 sur ce site même et dans sa version papier. Je préfère vous raconter l’ambiance de Noël qu’Estée Lauder a réussi à créer en cet après-midi verglacé de début décembre.
La société avait investi le bâtiment B19 situé en face du select club de sport David Lloyd, en bordure de la forêt de Soigne. D’entrée de jeu, le ton est donné : bougies dans l’allée, lumière tamisée à la réception, dans un coin, un grand sapin de Noël magnifiquement décoré,… Ensuite, d’ « îlot beauté » en « îlot beauté », des spécialistes des différents labels nous ont expliqué les nouveautés pour 2011. Mon coup de coeur, et je ne vous dévoilerai que cela, va à la gamme tournée vers la nature Aveda ainsi qu’aux soins pour chouchouter nos hommes Lab Series.
En plus de la gentillesse et de l’expertise de ces spécialistes (chez Clinique, une passionnée nous a avoué distiller ses conseils depuis 18 ans !), de la fine couche de neige qu’on pouvait apercevoir au dehors, des décorations de Noël, des petites verrines et autres coupettes de bulles, il ne manquait plus qu’un feu de bois crépitant dans l’âtre pour se sentir comme un 25 décembre, pour peu, on serait bien resté là le reste de l’après-midi dans ces canapés, à papoter hydratation, scrubbing, couches supérieures de l’épiderme et pouvoir des algues marines. Estée Lauder a bel et bien trouvé la recette gagnante pour créer Noël avant la Noël, une après-midi somme toute banale d’un 7 décembre. C’est certain, la grande dame des cosmétiques, disparue en 2004, aurait apprécié.
Ca.L
