Nos 12 questions sur le vif à Clio Goldbrenner: « Définitivement je ne sais pas et je n’aime pas cuisiner »

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Clio Goldbrenner a initié sa marque de sacs en 2011. Toujours actionnaire, elle a laissé la création à d’autres et a lancé le « labocliogoldbrenner », dont elle est directrice artistique. Elle y enseigne son know-how et, sur Instagram, partage ses rencontres mode. Elle répond à notre interview sur le vif.

La question qu’on vous pose le plus souvent?

« Quelle est la recette pour faire une marque de sacs désirables qu’on voit au bras des femmes dans la rue? » Et c’est vrai que cela m’émeut quand j’en croise une. Mes filles aussi, qui me disent à chaque fois: « Maman, il y a un sac à toi. »

La compétence inutile que vous maîtrisez?

Je peux me faire une overdose de séries, je suis très bonne à enchaîner les épisodes, j’adore mais c’est un peu inutile en soi. Je peux me manger une saison en deux soirées, traîner jusqu’à deux heures du matin et m’obliger à m’arrêter parce que ce n’est pas raisonnable.

Un sport que vous pratiquez… en pensée?

Je rêverais de danser hyper bien, d’avoir le bon déhanché et le move parfait. J’adore faire la fête. Petite, j’ai suivi des cours de classique mais n’en ai pas gardé grand-chose.

La ville dont vous n’êtes jamais vraiment revenue?

Tel-Aviv. J’ai un attachement particulier pour cette ville, son énergie, ses restaurants divins, le monde dans ses rues, les nouveaux endroits qui s’ouvrent sans cesse, ce mélange de plage et d’urbain. Et puis c’est l’endroit où je passe des vacances en famille et avec mes amis. A un moment, j’ai même voulu y vivre.

La personne qui a le plus d’influence sur vous?

David, mon mari. On est ensemble depuis que j’ai 18 ans, c’est un amour de jeunesse, je l’ai rencontré quand je commençais à peine mes études à l’ICHEC, en 2003. Il a toujours été à mes côtés et quand j’ai lancé ma marqué, même s’il ne bossait pas pour Clio Goldbrenner, il a pris tant de décisions avec moi. Il est super posé, il a toujours le bon regard. Et puis il est le père de mes filles qui ont 7 et 4 ans. Il n’est pas juste mon amoureux, c’est le compagnon de ma vie, j’ai 36 ans et j’ai passé plus de temps avec lui que sans lui.

Une idée concrète pour un monde meilleur?

Sourire, cela change tout.

Le plat qui vous ramène en enfance?

Le moelleux au chocolat de Nani, ma grand-mère paternelle, je n’ai jamais réussi à retrouver ce goût. Et le steak-frites de mes grands-parents maternels, avec la friteuse maison. Mes filles vont chez eux et ils leur font le même steak-frites, dans la même friteuse encastrée, j’adore.

L’achat le plus bizarre que vous ayez fait?

Je ne suis pas trop achat coup de tête. Quand je craque, c’est parce que j’aime vraiment.

Votre dernier coup de gueule?

J’ai certes du caractère, je sais ce que je veux et je n’ai pas peur de m’imposer mais je n’ai pas de coups de gueule et je n’aime pas trop faire des scandales.

La dernière fois que vous vous êtes trompée?

Ce n’est pas que je ne me trompe jamais mais je ne vois pas… Et pour éviter de me gourer de chemin, je mets Waze, je suis très « Waze girl ».

Ce que vous avez appris sur vous durant la pandémie?

Que définitivement je ne sais pas et je n’aime pas cuisiner. J’ai désormais abandonné l’idée de m’y atteler.

Ce que vous avez envie de faire, là, tout de suite?

Voyager en famille, explorer le monde avec mon mari et mes petites Sienna et Jodie. Ce sont des moments de bulles où l’on se retrouve à quatre et cela me remplit.

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