Anne-Françoise Moyson

Edito | Notre histoire d’amour avec Angèle

Les histoires d’amour contiennent leur part de mystère. La nôtre pour Angèle a débuté il y a longtemps déjà – on n’a pas attendu qu’elle fasse le tour du monde avec sa pop engagée, qu’elle ait 3,8 millions de followers sur Instagram, qu’elle clôture les J.O. de Paris avec un art consommé de la félinité blonde. On l’a aimée dès le début. On se souvient de ses premiers pas si touchants, de sa voix qui s’affirme, de ses doigts sur le piano, de ses concerts dans des arrière-salles lilliputiennes, de ce shooting mode en 2018 qu’elle avait honoré pour Le Vif Weekend avec tant de grâce… On se souvient de tout, et du reste aussi.

Les histoires d’amour contiennent également leur part de chance. Angèle a saisi la sienne, sans craindre de s’y reprendre à deux fois. Avec acuité, elle sait écouter son intuition. Un exemple? Elle avait demandé à Chanel de créer ses tenues pour sa tournée Nonante-Cinq, elle avait regardé les millésimes 1995 signés Karl Lagerfeld et avait choisi sans hésiter une petite jupe noire. Quand elle avait essayé cette précieuse archive, elle avait trouvé au dos une étiquette sur laquelle étaient inscrits ces chiffres: 03 12 1995. «C’est la date de mon anniversaire», précise-t-elle. Elle y avait vu un heureux présage.

Trois ans plus tard, elle incarne «à 100%» le nouveau parfum de la maison aux deux C. Il a pour titre générique le nom de Chance. Elle en parle en exclusivité avec nous. Et nous, on savoure notre bonne fortune.

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