Buckingham confirme l’authenticité des photos « topless » de Kate Middleton

© Reuters

Le prince William et son épouse Catherine sont « affligés » après l’annonce du magazine français Closer qu’il allait publier des photos censées représenter la duchesse les seins nus, a-t-on indiqué vendredi dans l’entourage du couple princier.

« Leurs Altesses sont affligées d’apprendre l’existence présumée de ces photos », a déclaré une source accompagnant le couple lors d’un déplacement en Malaisie, deuxième étape d’une tournée majeure en Asie-Pacifique.
« Cet incident, s’il s’avère, nous renverra quinze ans en arrière », a ajouté cette source, en référence à la traque médiatique dont avait fait l’objet la princesse Diana, mère de William, jusqu’à sa mort dans un tragique accident de la route à Paris en 1997.

Le magazine français Closer a annoncé sur son site internet la publication prochaine de photos de Kate les seins nus, lors d’un séjour dans le sud de la France. Le magazine publie sur son site une miniature de sa Une à venir, qui promet des « photos qui vont faire le tour du monde » sous le titre « Oh my God » (Oh mon Dieu).

La page de couverture affiche un cliché pixélisé semblant montrer la duchesse en train d’ôter le haut de son maillot. La source proche du couple princier a précisé que la monarchie tentait d’établir l’authenticité des photos avant de « prendre une décision sur les actions à suivre ». L’annonce des clichés, qui seraient les premiers du genre concernant la duchesse, est venue assombrir la tournée majeure que le couple princier effectue en Asie-Pacifique en l’honneur des 60 ans de règne d’Elizabeth II.

Les photos « topless » de Kate sont authentiques (source proche du palais)

Les photos « topless » de Kate publiées vendredi par un magazine français sont « authentiques », a indiqué une source proche du palais de Buckingham, soulignant que la duchesse de Cambridge et son époux William étaient « en colère et atterrés » de leur parution.
« Nous estimons qu’une ligne rouge a été franchie », a ajouté ce porte-parole, précisant que le palais était en train « de consulter des avocats français pour voir quelles étaient les options possibles ». « Nous ne sommes pas familiarisés avec la loi française et nous avons donc besoin de consulter », a-t-il ajouté.

Avec Belga

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