Justin Timberlake en 10 looks

En 1995, à l’époque des N’Sync, le boys band dont il fait partie, Justin (alias Boucles d’Or) est encore loin de faire rêver les filles.
En 2002, son look s’améliore nettement. C’est aussi l’année de la rupture avec Britney qui sera pour lui l’occasion de repartir sur des bases solides niveau look.
En 2006, il est avec Cameron Diaz, qui a près de dix ans de plus que lui. Costume taupe, chemise blanche, pull col V: son allure s’en ressent.
Il montre alors, déjà, un goût prononcé pour les gilets (mais ne sait pas encore tout à fait choisir ses chemises).
La vie est parfois injuste. Alors que le gilet ringardise le commun des mortels, Justin le porte avec une aisance confondante.
Aux MTV Video Music Awards de 2007, Justin peut aussi se féliciter d’être un homme de détails: il accorde la teinte de sa cravate à celle du décor et il réhabilité la montre à gousset d’antan.
La cravate demeure d’ailleurs un autre élément clé de son style, qui se veut à la fois chic et décontracté. Un conseil de sa nouvelle petite amie Jessica Biel?
Regard ténébreux, blouson en cuir noir, chapeau, cravate: Justin en fait-il trop?
Les grands soirs, il ose même le costume trois-pièces.
Le chanteur est par ailleurs un passionné de golf, sport qu’il pratique depuis l’enfance. Ecolo convaincu, il a même complètement rénové le terrain de 18 trous qu’il possède dans le Tennessee afin qu’il respecte l’environnement.
Lors du Gala du MET de 2009, il dégaine un nouvel accessoire à sa panoplie: les lunettes rétro. Une lubie? Pas du tout: le chanteur avoue être vraiment myope!
Ouf! Lors de la 61e Cérémonie des Emmy Awards, Justin fait enfin preuve de sobriété. Rasé de près et débarassé de ses lunettes, on a presque eu du mal à le reconnaitre tant il fait jeune.
Et en concert (ici avec Timbaland), il reste un adepte des chemises à carreaux et des pantalons cargo. Très professionnel, il sait surtout qu’à chaque situation correspond une tenue adaptée.
Lors d’une première de The Social Network en septembre, il prouve d’ailleurs une nouvelle fois qu’il sait s’adapter aux circonstances en jouant à fond son rôle de geek (il interprète le fondateur de Napster dans le film de David Fincher). On se croirait presque plus à un congrès sur l’informatique qu’à la première d’un film!
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