La carrière de Robert Redford et quelques-uns de ses rôles cultes (en images)

Robert Redford partage le haut de l’affiche avec Paul Newman dans ce film narrant les méfaits de deux amis malfrats, ingénieux, charismatiques et gouailleurs.
« Ne me dis pas comment braquer une banque. Je sais comment braquer une banque! »
Leur humour désinvolte passe mal auprès de la critique à l’époque, mais le public répond présent: le western est un succès et propulse le beau Redford dans la cour des grands.
Redford et Newman sont de nouveaux associés, cette fois comme escrocs dans le Chicago des années 1930.
Redford et Newman sont de nouveaux associés, cette fois comme escrocs dans le Chicago des années 1930.
Les deux hommes montent une arnaque ambitieuse pour se venger d’un dangereux gangster new-yorkais.
Sa performance remarquable, dans le rôle de Johnny Hooker, vaut à Robert Redford la seule nomination de sa carrière pour l’Oscar du meilleur acteur, qui revient finalement à Jack Lemmon pour son rôle dans « Sauvez le tigre » (1973).
Un film de Sydney Pollack, avec Barbra Streisand.
Cette adaptation cinématographique du célèbre roman de F. Scott Fitzgerald devait consacrer Redford comme le plus grand acteur romantique d’Hollywood, mais le film de Francis Ford Coppola connaît un succès mitigé.
Redford n’est pas épargné par la critique, qui attendait mieux de lui dans le rôle du mystérieux et décadent Jay Gatsby.
Robert Redford rebondit avec brio dans le costume du journaliste Bob Woodward, qui a révélé, aux côtés de son collègue du Washington Post Carl Bernstein, interprété par Dustin Hoffman, le scandale du Watergate, à l’origine de la démission du président Richard Nixon.
Beaucoup font de ce rôle l’un des plus importants de la carrière de Redford, qui avait déjà évolué dans l’univers politique, en 1972, en tant que candidat malheureux au Sénat américain dans le moins mémorable « Votez McKay ».
NATURAL, Robert Redford, 1984
Particulièrement à son avantage au milieu de l’arène –la scène de son « home run » victorieux est devenue culte–, Redford porte sur ses épaules ce film au scénario un peu convenu.
Une déception amoureuse pousse la baronne Karen Blixen (Meryl Streep) à s’embarquer pour l’Afrique.
Elle y fait la connaissance de l’insaisissable aventurier Denys Finch Hatton, un rôle dans lequel Robert Redford se glisse à merveille.
Inspiré des mémoires de la Danoise Isak Dinese, « Out of Africa – Souvenirs d’Afrique » se voit couronné de sept Oscars, dont celui du meilleur film.
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