Valentine a testé le Frunch

Contraction de « friday » et de « lunch », le frunch, lancé l’année dernière de façon quasi confidentielle dans la cour du BIP, la maison de la Région bruxelloise située place Royale, avait fait un véritable carton.

Valentine a testé le Frunch
© © VALENTINE VAN GESTEL

Le concept de mêler quelques food trucks aux notes relax d’un DJ avait séduit tout le haut de la ville, au point que les trois éditions initiales se sont multipliées tout au long de l’été. Consciente du potentiel de l’événement, cette seconde saison, qui s’installe jusqu’en septembre prochain, a été améliorée : plus de plantes, plus de confort (transat et Fatboy accueillent les plus nonchalants), plus d’alternance dans les camions et plus d’animations (une table de ping-pong et un kicker complètent le tableau).

Lors du lancement, la météo est idyllique : grand soleil et 24 °C au thermomètre. J’ai sorti mon sarouel et mes solaires, profitant des rayons avec un Lillet frais et de la deep house en fond sonore.

Le public, hétéroclite mais homogène, est au rendez-vous : hipsters, artistes, bobos, gonzagues et touristes se mélangent naturellement. Je me sens bien. Je ne suis visiblement pas la seule. Il règne une agréable douceur de vivre.

Valentine a testé le Frunch
© © VALENTINE VAN GESTEL

Seule ombre au tableau ? La queue. Vingt minutes pour mordre dans un hamburger, même si celui-ci était exquis (www.urbancook.be). Il faut donc du temps devant soi pour profiter pleinement de l’endroit, sinon l’expérience peut s’avérer frustrante.

Pour ma part, j’ai adoré. Vraiment. L’ambiance était tellement détendue que les rencontres se sont faites naturellement au détour d’un « la chaise est libre ? » Sans aucun doute un rendez-vous incontournable de l’été.

VALENTINE VAN GESTEL

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