Ces villes vertes sont-elles les cités du futur? (en images)
Qui dit architecte bio, dit Vincent Callebaut. Nous lui avons parlé à Gand où il a présenté ses projets ambitieux. Vivrons-nous bientôt dans une habitation dessinée par Callebaut ? Peut-être, mais il est certain qu’on entendra encore beaucoup parler de l’architecte.
Pour réaliser ses projets, l’architecte bio travaille de concert avec des ingénieurs et des universités. Ainsi, ils ont eu l’idée de poser des carrelages qui génèrent de l’énergie quand on marche dessus dans les lieux fréquentés, comme les gares, les seuls endroits où une grande empreinte est bénéfique pour l’environnement.
Qui est Vincent Callebaut?
Le Belge Vincent Callebaut est né en 1977. Il s’inspire de l’association architecture et nature. Aussi n’est-il pas surprenant que ses villes du futur aspirent à une vie urbaine plus verte. En 2015, il a publié « Paris 2050 » qui présente sa vision futuriste de la Ville lumière. Dans quelques mois, le premier bâtiment écologique de Callebaut ouvrira ses portes à Taipei. (SDW)
Callebaut cherche l’inspiration pour ses projets dans la nature. ils utilise les constructions naturelles qu’il voit dans les plantes et les fleurs pour les transformer en architecture.
Callebaut souhaite proposer une solution pour la surpopulation. « Nous sommes de plus en plus nombreux sur cette planète. Pour compenser ce nombre, il faut construire en fauteur », explique Callebaut.
Vincent Callebaut ne se lmimite pas uniquement aux villes. Ses bâtiments écologiques doivent également stimuler la biodiversité à la campagne pour produire davantage.
S’il n’en tenait qu’à Vincent Callebaut, les océans seront bientôt utilisés comme terrain à bâtir. Il s’inspire des nénuphars pour que ces villes flottent sur l’eau.
Le projet ‘Paris 2050’ doit rendre la ville plus verte et plus écologique. « La ville ne doit être un regard vers le passé, mais doit combiner le meilleur du passé et du présent. »
Dans les bâtiments, on utilise un maximum de sources d’énergie solaire. On peut pratiquer l’agriculture au sein de ses murs, mais aussi travailler et habiter, ce qui permet de réduire les transports.
À Taipei, la capitale du Taïwan, on travaille dur pour ouvrir le premier bâtiment écologique encore cette année.
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