, par Pauline Perrignon, Stock. © sdp

 » On écrit pour échapper à la folie. La perte est unique, pourtant je voulais la partager.  » Aller à la rencontre de l’homme, pas seulement de la figure paternelle.  » Quand on touche de si près la mort, il faut retourner à la vie ! Comment lui donner du sens et la rendre plus intense ?  » C’est précisément cette oscillation que décrit ce premier roman touchant.

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