50 nuances de green

© SDP/ NET SUSTAIN

La quête de durabilité fait bourgeonner les idées dans le secteur de la mode. Seconde main, matières innovantes et création raisonnée : place à une autre manière de penser le vêtement et son cycle de vie, tout bénéfice pour la planète !

Bible verte

Fairtrade, bio, non testé sur les animaux… Il est parfois difficile d’y voir clair entre toutes ces certifications vertes. Pour communiquer de manière optimale, Net-a-Porter a lancé Net Sustain en juin dernier. La plate-forme rassemble toutes les marques durables en vente sur l’e-boutique et détaille pourquoi elles ont obtenu le label  » sustainable « . Les griffes doivent répondre à un ou plusieurs critères imposés, concernant les matériaux utilisés ou le lieu de production. Chaque pièce s’accompagne donc de justificatifs. Le mois dernier, Net Sustain a été élargi à 45 nouvelles marques de vêtements et 27 pour les cosmétiques. Pour un total de 100. Pour l’occasion, 17 de ces labels ont été invités à créer une petite collection offrant des pièces  » qui durent toujours « .

Les marques en seconde main

La start-up Reflaunt permet aux griffes de mode, grâce à un logiciel, de profiter de l’explosion de la seconde main. Et de devenir ainsi plus durables en un clic. Même les grands groupes de luxe s’y intéressent.

Le secteur des vêtements d’occasion croît vingt fois plus vite que celui du commerce de détail traditionnel. Certaines études affirment même que d’ici dix ans, ce premier fera la course en tête. Les grands perdants ? Les marques elles-mêmes, qui n’ont aucun contrôle sur ces ventes de seconde main et qui n’y gagnent donc rien.

C’est là que Reflaunt intervient. La start-up a créé un logiciel qui permet aux labels de mode de revendre les pièces des clients dont ils ne veulent plus.  » Je voulais créer des ponts entre les marques et ce marché, affirme Stéphanie Crespin, CEO et cofondatrice de Reflaunt. Pour l’instant, ces deux mondes sont séparés. Pourtant, il s’agit du même public et des mêmes produits.  »

La jeune femme, à moitié belge et vivant à Singapour, poursuit :  » Grâce à Reflaunt, les marques de vêtements font d’une pierre trois coups. Premièrement, elles deviennent plus durables, parce que leurs articles ne finissent pas à la poubelle. Les consommateurs attendent de plus en plus des entreprises qu’elles proposent des solutions green afin de réduire leur empreinte écologique. Deuxièmement, il y a la fidélité de la clientèle. Si son vêtement est vendu, le client peut choisir entre du cash ou un bon d’achat d’un montant plus élevé. Enfin, Reflaunt aide à prévenir la contrefaçon, puisque seuls les articles achetés auprès de la marque peuvent être remis en circuit.  »

Stéphanie Crespin avait déjà créé Style Tribute, en 2013 : un e-store de vêtements et d’accessoires de luxe de récup’.  » Je connais le métier et donc aussi ses faiblesses. Ce type de transaction demande beaucoup de temps et d’efforts : vous devez soigneusement décrire le produit, déterminer un prix juste, etc. Reflaunt supprime ces barrières. Nous utilisons la description donnée par la marque et un algorithme détermine un prix basé sur le marché. L’article atterrit ensuite sur des dizaines de plates-formes dans le monde et une fois vendu, Reflaunt se charge du ticket d’expédition. Notre objectif : revendre en un seul clic. Parce que si c’est trop compliqué, tout le monde laissera ces articles non portés dans son placard. Et c’est triste. Nous devons évoluer vers un cycle de consommation circulaire. Les clients sont prêts depuis longtemps, Reflaunt l’est aussi depuis deux ans, mais les griffes n’étaient pas encore capables de franchir le pas. Désomais, la demande afflue.  »

Reflaunt est en discussion avec les groupes LVMH et Kering, prêts pour lancer la machine avec quasi toutes leurs maisons de luxe. Le segment intermédiaire montre également de l’intérêt : COS intègre le logiciel en mars, Ba&sh et Balenciaga suivront en avril.

reflaunt.com

Les marques en seconde main

La start-up Reflaunt permet aux griffes de mode, grâce à un logiciel, de profiter de l’explosion de la seconde main. Et de devenir ainsi plus durables en un clic. Même les grands groupes de luxe s’y intéressent.

Le secteur des vêtements d’occasion croît vingt fois plus vite que celui du commerce de détail traditionnel. Certaines études affirment même que d’ici dix ans, ce premier fera la course en tête. Les grands perdants ? Les marques elles-mêmes, qui n’ont aucun contrôle sur ces ventes de seconde main et qui n’y gagnent donc rien.

C’est là que Reflaunt intervient. La start-up a créé un logiciel qui permet aux labels de mode de revendre les pièces des clients dont ils ne veulent plus.  » Je voulais créer des ponts entre les marques et ce marché, affirme Stéphanie Crespin, CEO et cofondatrice de Reflaunt. Pour l’instant, ces deux mondes sont séparés. Pourtant, il s’agit du même public et des mêmes produits.  »

La jeune femme, à moitié belge et vivant à Singapour, poursuit :  » Grâce à Reflaunt, les marques de vêtements font d’une pierre trois coups. Premièrement, elles deviennent plus durables, parce que leurs articles ne finissent pas à la poubelle. Les consommateurs attendent de plus en plus des entreprises qu’elles proposent des solutions green afin de réduire leur empreinte écologique. Deuxièmement, il y a la fidélité de la clientèle. Si son vêtement est vendu, le client peut choisir entre du cash ou un bon d’achat d’un montant plus élevé. Enfin, Reflaunt aide à prévenir la contrefaçon, puisque seuls les articles achetés auprès de la marque peuvent être remis en circuit.  »

Stéphanie Crespin avait déjà créé Style Tribute, en 2013 : un e-store de vêtements et d’accessoires de luxe de récup’.  » Je connais le métier et donc aussi ses faiblesses. Ce type de transaction demande beaucoup de temps et d’efforts : vous devez soigneusement décrire le produit, déterminer un prix juste, etc. Reflaunt supprime ces barrières. Nous utilisons la description donnée par la marque et un algorithme détermine un prix basé sur le marché. L’article atterrit ensuite sur des dizaines de plates-formes dans le monde et une fois vendu, Reflaunt se charge du ticket d’expédition. Notre objectif : revendre en un seul clic. Parce que si c’est trop compliqué, tout le monde laissera ces articles non portés dans son placard. Et c’est triste. Nous devons évoluer vers un cycle de consommation circulaire. Les clients sont prêts depuis longtemps, Reflaunt l’est aussi depuis deux ans, mais les griffes n’étaient pas encore capables de franchir le pas. Désomais, la demande afflue.  »

Reflaunt est en discussion avec les groupes LVMH et Kering, prêts pour lancer la machine avec quasi toutes leurs maisons de luxe. Le segment intermédiaire montre également de l’intérêt : COS intègre le logiciel en mars, Ba&sh et Balenciaga suivront en avril.

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Les marques en seconde main

La start-up Reflaunt permet aux griffes de mode, grâce à un logiciel, de profiter de l’explosion de la seconde main. Et de devenir ainsi plus durables en un clic. Même les grands groupes de luxe s’y intéressent.

Le secteur des vêtements d’occasion croît vingt fois plus vite que celui du commerce de détail traditionnel. Certaines études affirment même que d’ici dix ans, ce premier fera la course en tête. Les grands perdants ? Les marques elles-mêmes, qui n’ont aucun contrôle sur ces ventes de seconde main et qui n’y gagnent donc rien.

C’est là que Reflaunt intervient. La start-up a créé un logiciel qui permet aux labels de mode de revendre les pièces des clients dont ils ne veulent plus.  » Je voulais créer des ponts entre les marques et ce marché, affirme Stéphanie Crespin, CEO et cofondatrice de Reflaunt. Pour l’instant, ces deux mondes sont séparés. Pourtant, il s’agit du même public et des mêmes produits.  »

La jeune femme, à moitié belge et vivant à Singapour, poursuit :  » Grâce à Reflaunt, les marques de vêtements font d’une pierre trois coups. Premièrement, elles deviennent plus durables, parce que leurs articles ne finissent pas à la poubelle. Les consommateurs attendent de plus en plus des entreprises qu’elles proposent des solutions green afin de réduire leur empreinte écologique. Deuxièmement, il y a la fidélité de la clientèle. Si son vêtement est vendu, le client peut choisir entre du cash ou un bon d’achat d’un montant plus élevé. Enfin, Reflaunt aide à prévenir la contrefaçon, puisque seuls les articles achetés auprès de la marque peuvent être remis en circuit.  »

Stéphanie Crespin avait déjà créé Style Tribute, en 2013 : un e-store de vêtements et d’accessoires de luxe de récup’.  » Je connais le métier et donc aussi ses faiblesses. Ce type de transaction demande beaucoup de temps et d’efforts : vous devez soigneusement décrire le produit, déterminer un prix juste, etc. Reflaunt supprime ces barrières. Nous utilisons la description donnée par la marque et un algorithme détermine un prix basé sur le marché. L’article atterrit ensuite sur des dizaines de plates-formes dans le monde et une fois vendu, Reflaunt se charge du ticket d’expédition. Notre objectif : revendre en un seul clic. Parce que si c’est trop compliqué, tout le monde laissera ces articles non portés dans son placard. Et c’est triste. Nous devons évoluer vers un cycle de consommation circulaire. Les clients sont prêts depuis longtemps, Reflaunt l’est aussi depuis deux ans, mais les griffes n’étaient pas encore capables de franchir le pas. Désomais, la demande afflue.  »

Reflaunt est en discussion avec les groupes LVMH et Kering, prêts pour lancer la machine avec quasi toutes leurs maisons de luxe. Le segment intermédiaire montre également de l’intérêt : COS intègre le logiciel en mars, Ba&sh et Balenciaga suivront en avril.

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Les marques en seconde main

La start-up Reflaunt permet aux griffes de mode, grâce à un logiciel, de profiter de l’explosion de la seconde main. Et de devenir ainsi plus durables en un clic. Même les grands groupes de luxe s’y intéressent.

Le secteur des vêtements d’occasion croît vingt fois plus vite que celui du commerce de détail traditionnel. Certaines études affirment même que d’ici dix ans, ce premier fera la course en tête. Les grands perdants ? Les marques elles-mêmes, qui n’ont aucun contrôle sur ces ventes de seconde main et qui n’y gagnent donc rien.

C’est là que Reflaunt intervient. La start-up a créé un logiciel qui permet aux labels de mode de revendre les pièces des clients dont ils ne veulent plus.  » Je voulais créer des ponts entre les marques et ce marché, affirme Stéphanie Crespin, CEO et cofondatrice de Reflaunt. Pour l’instant, ces deux mondes sont séparés. Pourtant, il s’agit du même public et des mêmes produits.  »

La jeune femme, à moitié belge et vivant à Singapour, poursuit :  » Grâce à Reflaunt, les marques de vêtements font d’une pierre trois coups. Premièrement, elles deviennent plus durables, parce que leurs articles ne finissent pas à la poubelle. Les consommateurs attendent de plus en plus des entreprises qu’elles proposent des solutions green afin de réduire leur empreinte écologique. Deuxièmement, il y a la fidélité de la clientèle. Si son vêtement est vendu, le client peut choisir entre du cash ou un bon d’achat d’un montant plus élevé. Enfin, Reflaunt aide à prévenir la contrefaçon, puisque seuls les articles achetés auprès de la marque peuvent être remis en circuit.  »

Stéphanie Crespin avait déjà créé Style Tribute, en 2013 : un e-store de vêtements et d’accessoires de luxe de récup’.  » Je connais le métier et donc aussi ses faiblesses. Ce type de transaction demande beaucoup de temps et d’efforts : vous devez soigneusement décrire le produit, déterminer un prix juste, etc. Reflaunt supprime ces barrières. Nous utilisons la description donnée par la marque et un algorithme détermine un prix basé sur le marché. L’article atterrit ensuite sur des dizaines de plates-formes dans le monde et une fois vendu, Reflaunt se charge du ticket d’expédition. Notre objectif : revendre en un seul clic. Parce que si c’est trop compliqué, tout le monde laissera ces articles non portés dans son placard. Et c’est triste. Nous devons évoluer vers un cycle de consommation circulaire. Les clients sont prêts depuis longtemps, Reflaunt l’est aussi depuis deux ans, mais les griffes n’étaient pas encore capables de franchir le pas. Désomais, la demande afflue.  »

Reflaunt est en discussion avec les groupes LVMH et Kering, prêts pour lancer la machine avec quasi toutes leurs maisons de luxe. Le segment intermédiaire montre également de l’intérêt : COS intègre le logiciel en mars, Ba&sh et Balenciaga suivront en avril.

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Les marques en seconde main

La start-up Reflaunt permet aux griffes de mode, grâce à un logiciel, de profiter de l’explosion de la seconde main. Et de devenir ainsi plus durables en un clic. Même les grands groupes de luxe s’y intéressent.

Le secteur des vêtements d’occasion croît vingt fois plus vite que celui du commerce de détail traditionnel. Certaines études affirment même que d’ici dix ans, ce premier fera la course en tête. Les grands perdants ? Les marques elles-mêmes, qui n’ont aucun contrôle sur ces ventes de seconde main et qui n’y gagnent donc rien.

C’est là que Reflaunt intervient. La start-up a créé un logiciel qui permet aux labels de mode de revendre les pièces des clients dont ils ne veulent plus.  » Je voulais créer des ponts entre les marques et ce marché, affirme Stéphanie Crespin, CEO et cofondatrice de Reflaunt. Pour l’instant, ces deux mondes sont séparés. Pourtant, il s’agit du même public et des mêmes produits.  »

La jeune femme, à moitié belge et vivant à Singapour, poursuit :  » Grâce à Reflaunt, les marques de vêtements font d’une pierre trois coups. Premièrement, elles deviennent plus durables, parce que leurs articles ne finissent pas à la poubelle. Les consommateurs attendent de plus en plus des entreprises qu’elles proposent des solutions green afin de réduire leur empreinte écologique. Deuxièmement, il y a la fidélité de la clientèle. Si son vêtement est vendu, le client peut choisir entre du cash ou un bon d’achat d’un montant plus élevé. Enfin, Reflaunt aide à prévenir la contrefaçon, puisque seuls les articles achetés auprès de la marque peuvent être remis en circuit.  »

Stéphanie Crespin avait déjà créé Style Tribute, en 2013 : un e-store de vêtements et d’accessoires de luxe de récup’.  » Je connais le métier et donc aussi ses faiblesses. Ce type de transaction demande beaucoup de temps et d’efforts : vous devez soigneusement décrire le produit, déterminer un prix juste, etc. Reflaunt supprime ces barrières. Nous utilisons la description donnée par la marque et un algorithme détermine un prix basé sur le marché. L’article atterrit ensuite sur des dizaines de plates-formes dans le monde et une fois vendu, Reflaunt se charge du ticket d’expédition. Notre objectif : revendre en un seul clic. Parce que si c’est trop compliqué, tout le monde laissera ces articles non portés dans son placard. Et c’est triste. Nous devons évoluer vers un cycle de consommation circulaire. Les clients sont prêts depuis longtemps, Reflaunt l’est aussi depuis deux ans, mais les griffes n’étaient pas encore capables de franchir le pas. Désomais, la demande afflue.  »

Reflaunt est en discussion avec les groupes LVMH et Kering, prêts pour lancer la machine avec quasi toutes leurs maisons de luxe. Le segment intermédiaire montre également de l’intérêt : COS intègre le logiciel en mars, Ba&sh et Balenciaga suivront en avril.

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