Couleur locale
Dans ce cocon arabisant, au centre de Boulogne-sur-Mer, on s’inspire des croisillons en bois.
Une terrasse encadrée de hauts murs n’est pas obligatoirement synonyme d’ombre et d’ennui. C’est ce que nous prouve le propriétaire de ce petit jardin citadin le long de la Côte d’Opale. Ici, pas de plantes grimpantes pour absorber la lumière du soleil le long du mur vide, mais plutôt un treillis en bois et une peinture rouge terre.
Cette paroi ajourée en bois rappelle les claustras – qui peuvent aussi être en béton ou en brique – utilisés dans les pays chauds pour séparer les espaces, sans les isoler hermétiquement. Elles créent une illusion de profondeur et d’intimité.
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