Mêlant souvenirs réels et imagination pure, Isabelle Carré retourne dans la maison de son enfance.  » J’aspirais à un livre au goût de chocolat blanc, de parfum maternel et de singularité.  » Elle réalise très tôt que son foyer n’est pas comme les autres.  » Mes parents m’ont transmis une éducation artistique « , mais ils cachent des blessures et des ombres silencieuses.  » Mon roman désire désépaissir le mystère des adultes. La famille représente le lieu où l’on se réchauffe. Sa richesse m’a appris la multiplicité des êtres.  »

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