Matière à sensation

© getty images / courtesy shiseido

Une peau n’est pas l’autre, le fait est entendu en cosmétique au point de faire de la personnalisation du soin le nouveau credo du secteur. Et la réponse de l’épiderme, aux agressions extérieures mais aussi aux actifs qui sont contenus dans les produits, est loin d’être constante. On s’en doutait instinctivement, cette impression de ne plus ressentir comme avant les effets de son sérum ou de sa crème n’est pas une illusion, c’est bel et bien une question de communication entre les récepteurs cutanés et le cerveau, comme vient de le démontrer la dernière étude des laboratoires Shiseido. Pour éviter que la discussion entre la tête et la peau ne s’enraye, un nouveau complexe breveté sera progressivement introduit dans les soins. Sa promesse ? Stimuler la réceptivité et favoriser de facto la transmission des signaux par les fibres nerveuses. Une sorte de remise à niveau, proposée dans un premier temps dans la nouvelle gamme hydratante Essential Energy. Clin d’oeil à la poterie de style raku, dont les créations sont volontairement imparfaites pour ne laisser personne indifférent, il existera 64 combinaisons de contenants. Peu de chance, donc, de tomber deux fois sur la même. Lisses par endroits, rugueux par d’autres, ils ont été imaginés pour se lover dans le creux de la main et mieux se laisser caresser. Et réveiller eux aussi des émotions.

Matière à sensation
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Soin hydratant Essential Energy (trois textures disponibles), Shiseido, 73 euros les 50 ml (disponible à partir de février).

Matière à sensation
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