Home cinéma, appareils photo, baladeur… la baisse des prix dope l’engouement des consommateurs. Tour d’horizon des innovations les plus performantes.

A l’heure où la croissance traîne les pieds, l’industrie du numérique de loisir voit ses ventes exploser. Les ventes d’écrans plasma, dont le prix aura diminué de moitié par rapport à 2003, devraient augmenter sensiblement. Les LCD (écrans à cristaux liquides) devraient, eux, faire mieux encore alors que les systèmes home cinéma tout en un (enceintes, lecteur DVD, ampli) connaissent un succès sans précédent. En ce qui concerne les appareils photo numériques, les perspectives sont tout aussi spectaculaires. Principale raison de cet engouement : la baisse continue des prix, tous matériels confondus. La passion dévorante du public pour le numérique s’explique aussi par la simplification û malgré un langage parfois encore abscons û de nouvelles technologies pourtant extrêmement sophistiquées. Les caméscopes numériques transfèrent en quelques secondes les rushes de vidéos familiales au lecteur de DVD du salon ou à l’ordinateur. Les appareils photo numériques séduisent les ados, qui craquent pour les formats miniatures et fun, les familles se rassemblent autour d’un 4 mégapixels tout terrain et les passionnés friment en reflex. Tous s’adonnent aux joies de la retouche grâce à des logiciels qui permettent de créer la photo parfaite ou ultrapersonnalisée. Quant à la télé, elle n’a jamais été aussi proche de l’effet cinéma : les écrans plasma deviennent toujours plus plats, toujours plus grands, toujours plus raffinés.

Superéquipé à la maison, on l’est tout autant quand on nomadise. La musique joue à fond la compression.  » A la fin de l’année, tous les produits audio seront compatibles MP3 « , assure Claude Floch, directeur marketing électronique grand public de GfK ( NDLR : Institut d’études marketing spécialiste des nouvelles technologies). Un pas que les juke-box à disque dur et les baladeurs à mémoire interne, rivalisant de puissance et de compacité, ont déjà franchi. Même la voiture roule pour le numérique avec les systèmes de localisation, de plus en plus faciles à utiliser (d’une commande vocale, on évite les bouchons). Et, grâce à la miniaturisation, l’auto se transforme en salon mobile : les enfants ne s’ennuient plus pendant les longs trajets depuis qu’ils peuvent regarder un DVD à l’arrière du véhicule.

Qu’il s’agisse d’image, de photo, de son, la révolution numérique passe également par des capacités de stockage accrues, point essentiel, vu l’usage frénétique que suscitent ces technologies. Les lecteurs-enregistreurs de DVD et les caméscopes se dotent de disques durs, les téléviseurs eux-mêmes commencent à intégrer des lecteurs de cartes mémoire et les appareils photo numériques (APN) enregistrent désormais des centaines de clichés en haute définition. Quant aux juke-box, déjà capables de stocker jusqu’à 1 000 chansons dans moins de 100 grammes, ils nous promettent en prime la vidéo pour l’automne.

Le prochain défi sera celui de la convergence. Première étape vers l’interactivité, le Media Center permet à l’ordinateur de piloter d’une seule télécommande tous les médias de la maison. Quand on sait que 70 % des personnes disposant d’un accès à Internet déclarent s’en servir pour télécharger des images, de la musique, des films, on prend la mesure de cette boulimie d’échanges. Conscientes de l’enjeu, une vingtaine de marques phares de l’électronique et de l’informatique se sont groupées en une association baptisée Digital Home Working Group (DHWG, groupe de recherche sur le numérique domestique). Son objectif : faciliter le partage des contenus de loisirs numériques et jeter les bases d’une plate-forme permettant d’établir des standards simplifiés. Le numérique n’est plus une mode. C’est devenu un mode de vie.

Home cinéma : grand écran sur canapé

Selon l’utilisation prévue et le budget disponible, on optera pour un écran plat, un rétroprojecteur ou un vidéoprojecteur. La majorité des consommateurs se tournent vers les premiers, mais hésitent entre deux technologies. Doivent-ils acheter un écran LCD (à cristaux liquides) ou un écran plasma (à mélange gazeux) ? Les LCD se taillent la part du lion. En 2003, il s’en est vendu trois fois plus que d’écrans plasma. Et pour cause : ils sont moins chers (1 300 euros contre 5 100 euros, en moyenne), les prix ayant été divisés de moitié en un an. Mais les LCD sont aussi plus petits que les plasma. Selon Patrick Chardin, directeur général de Sharp,  » les acheteurs de LCD ne privilégient pas la taille. Ce qu’ils veulent, c’est un téléviseur qui s’intègre bien dans leur salon. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si les femmes, plus sensibles à la décoration intérieure, représentent 60 % des clients.  » Les plus discrets de ces écrans (15 pouces, 38 cm) conviennent d’ailleurs parfaitement pour un deuxième équipement. En termes d’images, les LCD gagnent en profondeur grâce à l’absence de trame. Leur surface mate réduit les risques de reflets en contre-jour et, contrairement aux écrans plasma, ils ne subissent pas ces effets  » mosquito  » où l’image donne parfois l’impression de clignoter.

Les plasma séduisent les inconditionnels de l’écran géant. Cette technologie, incompatible avec les formats réduits, produit des écrans bénéficiant d’un angle de vision plus large que les LCD (160 degrés, ce qui permet de garder une même qualité d’image quel que soit l’endroit où l’on se place) et d’une luminosité supérieure puisqu’ils sont autoéclairants. A tel point que les noirs ont parfois du mal à dépasser… le gris foncé. Alors ? Pour Pascal Petitpas, responsable des nouvelles technologies chez Panasonic,  » il faut arrêter d’opposer le plasma au LCD. Les deux technologies sont complémentaires « .

Moins prisés que les écrans plats, les rétroprojecteurs continuent toutefois leur progression. Leur jeu de miroirs s’est affiné et ils ont perdu de leur embonpoint légendaire. Reste le must en matière de home cinéma : le vidéoprojecteur qui offre le meilleur ratio taille/prix, avec un coût moyen oscillant autour de 4 000 euros. Le manque d’engouement s’explique par les conditions d’utilisations requises, essentiellement un vaste salon. Alban, jeune architecte de 33 ans, n’a pourtant pas hésité. Il rêvait d’images grand format et de son surround. Alors, il a installé son home cinéma dans la cave, déroulé un écran sur le plan de mur en briques et posé un vidéoprojecteur à l’autre bout de la pièce. Depuis, il invite régulièrement les copains à se faire une toile en sous-sol. Les vidéoprojecteurs sont particulièrement bien adaptés aux grandes pièces offrant un recul suffisant entre l’appareil lui-même et l’image projetée (si votre écran mesure 2 mètres, comptez le double de recul, soit 4 mètres). Mais ce sont des appareils fragiles et, pour bien les choisir, il faut prendre en compte plusieurs paramètres. Le plus important d’entre eux, c’est le taux de contraste. Plus il sera élevé (pas moins de 600 : 1 ou 700 : 1), meilleure sera l’image. Ensuite, veillez à la puissance lumineuse : elle ne doit pas être inférieure à 800 lumens et une forte pénombre est nécessaire pour exprimer au mieux ses capacités. Enfin, le bruit du ventilateur ne doit pas dépasser 28 décibels (dB). Et optez d’emblée pour un vidéoprojecteur doté d’une matrice 16/9 (le standard le plus proche du Cinémascope). A noter qu’un tel système est optimal avec un écran électrique qui renforcera le rapport de contraste… mais aussi le montant de la facture (1 500 euros en moyenne).

Du son comme si vous y étiez

Faites le test. Installez-vous dans votre canapé, allumez votre téléviseur et chargez, par exemple, le DVD de  » Gladiator  » dans votre lecteur. Maintenant, fermez les yeux. Vous entendez les légionnaires romains s’approcher par la droite et les barbares gronder derrière vous ? Non ? Il est temps, alors, de vous équiper d’un système audio multicanal digne d’une salle de cinéma. Pour cela, deux solutions s’offrent à vous.

La première, financièrement très avantageuse, se présente sous la forme de système home cinéma tout en un. Très simples à installer, ils comprennent un lecteur DVD, un amplificateur et six satellites (un caisson de graves, deux enceintes avant, une centrale et deux arrière, toutes reliées à l’amplificateur pour doper le son). Indispensables pour vous plonger dans l’ambiance du film, ces enceintes délivrent un son surround à 360 degrés. Elles se présentent sous forme de petits haut-parleurs ou de colonnes. Les premiers sont à poser de préférence sur un pied ou en hauteur. Plus élégantes mais un peu plus encombrantes, les secondes offrent en général de meilleures performances sur les sons graves. Hormis Bose, les principales marques (B&O, Sony, Samsung, Pioneer, Philips) proposent les deux types de modèles. A vous de choisir selon le design que vous aimez et la place donc vous disposez. Pour limiter l’encombrement, Samsung (HT-DB 760) a mis au point un tout nouveau système de réflexion du son qui permet de recréer l’environnement sonore de cinq enceintes à partir de trois haut-parleurs placés devant le téléspectateur. Il ne vous reste plus qu’à procéder au réglage de votre installation pour faire vibrer vos émotions.

La seconde solution consiste à acheter des éléments séparés. Souvent très onéreux, ils intéressent prioritairement les audiophiles les plus exigeants. Les toutes nouvelles enceintes BeoLab 3 de Bang & Olufsen, par exemple, sont des petits chefs-d’£uvre acoustiques. Plus fort, les BeoLab 5 calculent elles-mêmes l’emplacement optimal dans votre salon, celui qui vous garantira pour la meilleure qualité de son. Mais elles coûtent 7 400 euros pièce, et il en faut deux… Le prix de la prouesse et du confort maximal ?

Bien dans ses meubles

Fermez les yeux et imaginez. Au milieu du salon, la commode s’ouvre d’une simple pression pour laisser apparaître un écran. Etendu sur la banquette, Monsieur regarde les images diffusées au plafond tandis que, installée dans le canapé, Madame se laisse bercer par les sons provenant des accoudoirs. Ça fait rêver ? Eh bien, cette version futuriste du home cinéma existe déjà.

Cappellini, fabricant italien branché de mobilier design, et Philips, géant néerlandais du high-tech, viennent de l’inventer. Plus que de simples canapés, bibliothèques, sofas ou étagères, les sept meubles de la ligne Paysages fluides sont vendus avec les technologies du home cinéma : écran ou vidéoprojecteur, lecteur DVD et amplis. Malins, ils sont évolutifs, c’est-à-dire prévus pour accueillir les bijoux technos dernier cri au fur et à mesure de leur mise sur le marché, et ils existent en 44 couleurs différentes !

Dans la même veine, Philippe Starck vient de signer, chez Cassina, un concept baptisé MISS (Music, Image, Sofa, System). L’idée ? Faire  » le minimum dans le maximum « , offrir un canapé avec des niches dans les accoudoirs destinées à accueillir les enceintes et un  » totem technologique  » conçu pour recevoir les éléments d’un home cinéma (écran, lecteur). Ceux-ci ne sont pas vendus avec, ce qui permet aux fanas de cinéma à domicile d’installer la marque de leur choix. Starck présente MISS comme  » un service plutôt que comme un exploit de design « .

Ces créations encore très chères semblent promises à un bel avenir. C’est en tout cas ce qu’affirment les visionnaires de Philips, pour qui, bientôt, la technologie fera partie des meubles. Littéralement.

Appareils photo : Ayez le bon reflex

Bienvenue dans l’univers des pixels et des cartes mémoire. Cette année, il devrait se vendre quelques millions de boîtiers numériques. Une véritable razzia, qui s’explique par la baisse des prix, accentuée par la concurrence acharnée que se livrent des fabricants de plus en plus nombreux. Cet engouement tient aussi à toute la palette d’avantages qu’apportent ces types d’appareils par rapport à leurs  » ancêtres  » argentiques. Les plus prisés : les appareils à 4 et 5 mégapixels et les reflex semi-professionnels. Mais, du boîtier d’entrée de gamme à 2 millions de pixels au super-reflex numérique destiné aux passionnés de photo, il y en a pour tous les goûts, tous les usages et tous les budgets. Commençons par les reflex. Ces Rolls du numérique nécessitent un bas de laine d’au moins 1 200 euros. D’où des ventes encore faibles, qui n’ont commencé à décoller qu’à l’automne 2003. Mais ces appareils ont toutes les chances de se faire une belle place dans les besaces des fondus de l’image. En alliant les plaisirs des boîtiers argentiques aux performances du numérique, les boîtiers reflex permettent d’adapter tous les types d’optiques. Même ceux des appareils classiques. Autre avantage, l’utilisateur peut se libérer des programmes automatiques pour retrouver les joies de la photo à paramétrage manuel. Comme un vent de nostalgie qui soufflerait sur Nikon et Canon au pays des 6 et 8 mégapixels.

Passons à l’appareil  » familial « . Pour satisfaire toute la tribu, choisissez un 4 ou 5 mégapixels. Ils garantissent d’excellentes prises de vues, ce qui vous permettra d’imprimer vos clichés au format A4, si vous voulez frimer. Avant de craquer, testez la vitesse d’acquisition électronique de l’image. Le temps compris entre le moment où vous appuyez sur le déclencheur et celui où la photo apparaît à l’écran doit être le plus court possible (moins d’une seconde). Contrôlez aussi l’intervalle entre deux prises de vues : il doit être inférieur à deux secondes. Et choisissez un zoom optique 3 X au minimum (ne vous fiez pas à la puissance affichée du zoom numérique, dont la résolution est moins fiable). Vérifiez également si l’écran de contrôle LCD supporte bien les contre-jours (c’est grâce à lui que vous visualisez la photo que vous allez prendre). Enfin, prenez en compte le coût de la carte mémoire supplémentaire (environ 70 euros pour 182 Mo, soit une bonne centaine de clichés) et regardez de près l’autonomie des batteries. Le reste n’est qu’affaire de look.

Reste à faire plaisir aux enfants. Hormis quelques exceptions, comme le charmant petit Q1D de Fujifilm, on ne trouve pratiquement plus d’appareils sous le seuil des 2 mégapixels. Pour satisfaire les velléités artistiques de votre rejeton, optez d’emblée pour un appareil à 3 mégapixels. Pour une poignée d’euros supplémentaires, vous aurez l’assurance qu’il pourra le conserver longtemps. Et la qualité de ses clichés sera telle qu’ils mériteront bien un tirage papier en 10 x 15 cm.

Retouchez, imprimez

La magie du numérique réside en ceci : une fois vos clichés transférés sur l’ordinateur vous pouvez supprimer toutes les imperfections et améliorer une photo de qualité moyenne. Aujourd’hui, la fonction  » suppression des yeux rouges  » est devenue une évidence. D’autres outils plus ambitieux ou plus amusants (détourage, effets de pinceau ou correction du déséquilibre chromatique) permettent de modifier sensiblement les clichés. Photoshop Elements 2.0 (Adobe) offre une interface simple et claire pour un utilisateur novice. PhotoImpact XL (Ulead) intègre une fonction de  » plage dynamique  » pour fusionner en une seule photo plusieurs clichés du même sujet pris sous le même angle de vue avec différents niveaux d’exposition. Le cadrage automatiquement recalculé. Picture It ! Pro9 (Microsoft) propose un outil rigolo qui permet tout simplement d’effacer un élément de la photo et de reconstituer le fond du décor sans laisser de blanc. Si vous voulez gommer belle-maman de la photo, c’est l’idéal…

Reste à imprimer votre chef-d’£uvre. Les champions de l’impression numérique s’appellent Canon, Epson et HP. Grâce à la technologie PictBridge, les imprimantes à jet d’encre deviennent de plus en plus autonomes et s’affranchissent de l’ordinateur. Un simple câble USB suffit pour transférer les photos avant de les imprimer. Chez Canon, la nouvelle imprimante Pixma iP4000, par exemple, présente, outre d’excellentes qualités techniques, un design aussi flatteur qu’innovant. En effet, ce bel appareil aux lignes très élégantes peut s’installer sans problème dans un living où l’on pourra partager, en famille ou entre amis, l’émotion de la découverte d’une photo fraîchement imprimée. Grâce à ce genre d’innovation, il est désormais possible de donner à la photo numérique le petit côté convivial qui lui manquait encore.

Musique nomade : Baladeurs et juke-box

Quand la musique numérique vibre avec le nomadisme ambiant, les chansons se portent à la ceinture. L’an dernier, nombre de mélomanes en goguette ont craqué pour un lecteur MP3. L’engouement pour ce format de compression de données audio, découvert il y a une dizaine d’années, se traduit aujourd’hui par une forte chute des prix. Reste à faire son choix entre les deux technologies en vogue : les baladeurs et les juke-box.

Les baladeurs sont légers et compacts, mais souffrent d’une capacité limitée. Leur mini-mémoire interne oscille le plus souvent entre 128 et 256 mégaoctects (Mo), mais la tendance est aux baladeurs à 256 Mo. La plupart d’entre eux sont munis d’un petit écran de contrôle et d’un encodeur MP3 intégré, pour compresser directement les fichiers son d’un CD à partir d’une chaîne hi-fi, sans avoir besoin de recourir à un ordinateur. Certains, comme le YP 55 H de Samsung, peuvent même se transformer en clés de stockage des données, en Dictaphone numérique et en lecteurs de radio FM.

Les juke-box, eux, sont de véritables ordinateurs dotés d’un disque dur d’une capacité de 1,5 à 60 gigaoctects (Go). Ces lecteurs surpuissants vous permettent d’emporter plus de 300 versions de  » La Walkyrie « . Soit trois mois, jour et nuit, de musique non-stop. Bémol : ils sont plus encombrants que le baladeur, pèsent en moyenne plus de 200 grammes et doivent passer par un Mac ou un PC pour télécharger leur contenu.

Fort de son succès (plus de 2 millions d’iPod écoulés), Apple, qui règne sur 32 % du marché des lecteurs MP3, lance ses tout nouveaux iPod Mini. Des poids plume d’à peine plus de 100 grammes, doté de 4 Go de mémoire, capables de télécharger 1 000 chansons à la vitesse d’un morceau par seconde. Et, en plus, ils sont beaux ! Difficile de choisir entre les cinq couleurs pastel de ces vrais bijoux de mode, qui se portent sanglés au bras par un brassard en Néoprène : ultrapratique pour faire son jogging en musique.

Avec des modèles comme ceux d’Apple et de Creative (notamment le MuVo2), les juke-box réduisent leur puissance, allégeant du même coup leur poids et leur prix. Les baladeurs, à l’inverse, augmentent leur capacité de stockage jusqu’à 512 Mo de musique. Reste que le coût mémoire des baladeurs s’avère extrêmement élevé, comparé à celui des juke-box : le prix de 1 Mo sur un baladeur à mémoire interne reviendrait à 1,20 euros en moyenne et à 0,003 euros environ pour un juke-box à disque dur…

Comment choisir ? Pour vous déterminer, au-delà de la barrière des prix, jouez le bons sens, selon votre style et vos envies. Zappeurs en outdoor, contentez-vous d’un baladeur de 256 Mo. Nightclubbers en mal de mix non-stop, optez pour un juke-box de 20 Go. En attendant de craquer pour un baladeur audio et vidéo numérique, la technologie du futur… immédiat.

L’AV 380, dernier-né d’Archos, embarque ainsi quatre-vingts heures de vidéo, 400 000 photos et l’équivalent de 2 000 CD en MP 3 dans ses 80 Go de disque dur. Le tout pour 1 000 euros, le prix de la parfaite convergence nomade.

William Coop et Clémence Leboulanger

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