Sans prétention

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Kipling lance des collabs avec Victoria Tang et Minjukim, une façon de parler le même langage que la Gen Z. Explications par la vice-présidente du label au petit singe.

Pourquoi ces collaborations?

Parfois, les Belges ne se rendent pas compte de l’importance de cette marque et du rayonnement qu’elle a à l’international, ils la cantonnent un peu au cartable. Or, le produit est tellement exceptionnel et intemporel qu’il faut en être très fier. C’est l’une des plus grandes marques belges, une vraie success-story, elle existe depuis 1987 et est présente dans plus de 80 pays – on vend pas loin de 8 millions de sacs par an. Avec mon équipe, on veut donc rappeler sa pertinence, son excellent rapport qualité/prix et y insuffler de la nouveauté, avec des collaborations surprenantes.

Pourquoi Victoria Tang et Minjukim?

Avec Victoria Tang, on est sur un produit plus sophistiqué, ce qui présente un intérêt dans le cas de Kipling souvent perçu comme casual. Et c’est une super ambassadrice pour nous: elle est citoyenne du monde, a grandi à Hong Kong et étudié en Europe, à Londres, à la Saint Martins. Avec Minjukim, on prône l’optimisme, grâce à ses imprimés. Elle a un vrai talent, elle est sud-coréenne, a étudié à l’Académie royale des beaux-arts d’Anvers et participé au LVMH Prize et fut la gagnante de la première saison de Next in Fashion sur Netflix. Elle a une résonance auprès d’une clientèle jeune.

Ceinture Minjukim x Kipling, 89,90 euros.
Ceinture Minjukim x Kipling, 89,90 euros. © SDP

Et quid du singe?

Ce produit est génial: même si on ne le connaît pas, on le reconnaît, peu de marques peuvent se prévaloir de cela. Si on dit «crocodile», on répond «Lacoste» et si on dit: «singe», on répond «Kipling»! Il évoluera encore l’année prochaine. Mais il reste une icône qui montre que nous ne sommes pas prétentieux: un sac avec un singe, c’est la preuve qu’on ne se prend pas trop au sérieux.

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