Un tatouage nommé sillage

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Elle fait partie de ces actrices que l’on n’attendait plus dans un rôle d’égérie, elle qui n’a rien d’une  » influenceuse  » au sens Millennials du terme, c’est tout juste si elle tweete parfois, comme du bout des lèvres. Souvent approchée – il se raconte en coulisses qu’elle a bien failli, il y a quelques années, devenir le visage d’un grand nom de la mode -, jamais  » signée  » pourtant, Angelina Jolie avait choisi jusqu’ici de mettre sa notoriété au service du Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies. En acceptant de devenir aujourd’hui plus que l’ambassadrice, la muse même, de Mon Guerlain, la nouvelle création envoûtante de Thierry Wasser, elle y voit une manière de mettre l’accent sur les causes qui lui tiennent à coeur. L’actrice oscarisée a décidé de reverser l’intégralité des émoluments perçus pour cette campagne à sa fondation, afin de soutenir des programmes liés à l’éducation, la santé ou l’environnement. C’est lorsqu’elle était en plein tournage au Cambodge de First They Killed My Father, son dernier long-métrage en tant que réalisatrice, dénonçant les horreurs du régime des Khmers rouges, que s’est concrétisée cette collaboration avec Guerlain, une maison à laquelle sa mère, fan du parfum de la poudre à l’iris et à la violette, était déjà très attachée. Là aussi qu’elle découvrira cette nouvelle fragrance fleurant bon la vanille, la lavande, le santal et le jasmin. Comme un tatouage invisible, dit-elle.

I.W.

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