Renseignements

Ambassade du Japon, 58, avenue des Arts, à 1000 Bruxelles. Tél. : 02 513 23 40.

L’Office national du tourisme Japonais (JNTO) met fréquemment à jour son site www.tourisme-japon.fr, par ailleurs très fourni en conseils pratiques et idées de séjours.

Formalités

Juste un passeport en cours de validité pour un séjour ne dépassant pas trois mois.

Monnaie

Le yen. 100 yens = 0,90 euro.

Décalage horaire

Par rapport à la Belgique : – 8 heures.

Y aller

Proposant des allers-retours Bruxelles-Tokyo à partir de 810 euros, All Nippon Airways décline deux types d’itinéraires. Le premier avec une escale à Munich, Francfort ou Londres et le second à partir de Paris, avec prise en charge en navette depuis Anvers ou Bruxelles. Non négligeable, le voyageur pourra effectuer une escale de quelques jours à Tokyo (moyennant un supplément de 60 euros) avant de gagner l’aéroport de Nagoya.

www.ana.co.jp

Se déplacer

S’il n’est pas du tout recommandé de se déplacer en voiture dans les grandes agglomérations japonaises, la location d’un véhicule équipé d’un GPS est indispensable pour visiter la préfecture de Wakayamaà Attention toutefois à ne pas oublier la traduction en japonais du permis de conduire belge, réalisée pour 50 euros dans les bureaux de la Japan Automobile Federation (JAF) à Tokyo. Conducteurs calmes et panneaux d’indication en anglais participent au plaisir de conduite.

www.jaf.or.jp/e/index-e.htm

Se loger

Même lorsqu’on opte pour une formule hyperéconomique façon ryokan (hôtel traditionnel avec tatami) ou minshuku (pension familiale), la propreté, le service et la ligne Web gratuite haut débit sont presque toujours au rendez-vous. Excepté les grands hôtels de

Shirahama, les nuits les plus originales se passent au Koya San. Les visiteurs y logent dans des shukubos, authentiques temples gérés par des aspirants moines accueillant des hôtes de tous horizons. Si la prière du matin et les plats végétariens (composés de racines vinaigrées des montagnes) peuvent rebuter, l’expérience en vaut largement l’effort. Réservations exclusivement via le site Web du Koya san.

www.shukubo.jp/eng

www.ryokan.or.jp/index_en.html

Les onsens. Lieu de détente sociale, les onsens publics sont ancrés dans la vie quotidienne des Japonais. Si une certaine pudeur vestimentaire est de mise en société (les femmes évitent très souvent les décolletés), l’inhibition reste au vestiaire dans les thermes. Possédant un nombre incalculable de sources thermales, le Japon offre une large variété de bains qui se retrouvent dans des ryokans, des minshukus et des shukubos dont les chambres n’ont pas de salle de bains. Règle d’or : ne pas oublier de se laver et de se rincer avant d’entrer dans le bain commun.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content