Lady Di n’aurait pas été assassinée, selon la police

© Reuters

La police britannique a rejeté lundi soir la thèse, apparue cet été, d’un assassinat de la princesse Diana par les troupes d’élites SAS, en affirmant qu’il n’y a « pas de preuves crédibles » accréditant cette théorie.

Dans un communiqué diffusé à la veille de la publication officielle de ses conclusions, la police indique qu’elle « a entrepris une enquête pour évaluer la pertinence et la crédibilité » d’informations reçues en août 2013 sur la mort de Diana et Dodi Al-Fayed.

« L’enquête est maintenant achevée » et une déclaration officielle sera faite mardi, précise le texte.

Mi-août, la police britannique avait simplement déclaré « examiner des informations récemment communiquées » sur ces décès, sans révéler le moindre élément sur leur nature.

Plusieurs médias britanniques avaient annoncé que l’une de ces informations affirmait que les SAS (Special Air Services), les troupes d’élite de l’armée britannique, seraient « responsables de la mort de la princesse Diana ».

Mais, selon le communiqué de la police publié lundi soir, « la conclusion finale (de l’enquête) est que, bien qu’il y ait une possibilité que les déclarations supposées sur l’implication des SAS dans ce décès aient effectivement eu lieu, il n’existe aucune preuve crédible pour soutenir l’idée que ces allégations aient un quelconque fondement ».

« En conséquence, le Service de police métropolitaine (MPS) est persuadé qu’il n’y a pas de raison probante pour ouvrir une enquête criminelle ».

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content