» J’ai développé une réflexion sur les villes verticales, avec des passerelles. Le coût social global d’un volume en l’air est beaucoup plus faible que celui des constructions au niveau du sol, et nous pouvons utiliser l’espace ainsi économisé pour l’agriculture, par exemple. La technologie permet déjà ce type de cités, mais nous devons tordre le cou à l’idée reçue selon laquelle il est désagréable et dangereux de vivre en hauteur. J’ai 68 ans et je ne verrai sans doute pas cette évolution moi-même, mais au moins, j’y aurai contribué. Qu’on me traite de fou : je considère cela comme un honneur.  »

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