Créatrice de Nanouk

En remettant les bâtonnets glacés à l’honneur, vous êtes devenue l’idole des petits et des grands Bruxellois… Comment cette idée vous est-elle venue ?

Mon histoire est celle d’une reconversion. Je travaillais dans le milieu de la finance et j’avais très envie de faire quelque chose de concret. Vu que j’adore la cuisine, je me suis mise à tester des recettes. L’idée du bâtonnet glacé est venue par hasard. J’avais un nom en tête,  » friskot « , quelque chose de bien belge qui parle à notre imaginaire collectif. Malheureusement, il s’agit d’une marque déposée. J’ai feuilleté un Assimil wallon-français dans lequel je suis tombée sur le mot  » nanouk  » qui signifie  » bâtonnet glacé au chocolat « . Etant de culture néerlandophone, j’ai trouvé le terme alléchant.

Qu’est-ce qui fait la spécificité de vos produits ?

D’abord, les matières premières. J’utilise le plus possible des produits naturels non transformés. Pour ce faire, je me rends au marché matinal bio de Malines. Ensuite, outre les classiques façon vanille-chocolat, je développe des goûts inédits tels que rhubarbe-rose, ananas-mojito, pastèque-menthe, abricot-basilic…

Où peut-on trouver vos glaces ?

Tous les jeudis au marché du parvis de Saint-Gilles, mais également chez Laurent Gerbaud, Belgomarkt, Ozfair ou au Woodpecker, le kiosque du bois de la Cambre.

www.nanouk-ice.be

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