» Les livres donnent la vie. La mienne a resurgi grâce à celui-ci car en revisitant les morts, je suis partie à la rencontre des vivants « , explique Pauline Perrignon. Il y a une touche mutine et enfantine chez elle. Comme si la benjamine n’avait pas grandi.  » La petite fille choyée  » continue à s’émerveiller des choses simples. La blondeur de ses cheveux s’accompagne d’un air malicieux :  » J’ai envie de tendre vers la joie, l’amour, la douceur et la générosité. On n’accède pas au bonheur sans l’autre. « 

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