Véronique Leroy

© IMAXTREE

On la sait obsessionnelle. Sans discontinuer, Véronique Leroy explore et retravaille ce qu’elle a créé les saisons précédentes, c’est un chemin. Cet hiver, elle fait un pas plus loin, à la faveur d’un rangement salutaire ; elle a plongé dans ses archives, les premières datent de 1991. Résultat : une garde-robe où règnent le drapé et le froncé, en référence à son histoire,  » cela devait être ma troisième ou ma quatrième collection « .  » On y trouve tout mon vocabulaire du début, mais associé à mon évolution et mixé à ce que je fais aujourd’hui. Je parle d’une femme amoureuse, amoureuse de tout. Mais elle est sur le fil du rasoir, c’est une bourgeoise un peu décadente, qui a déraillé, après le burn-out, elle vit autrement, elle n’a plus de limites et plus de barrières.  » Avec elle, rien n’est jamais littéral.

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