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Un casting de choix pour le défilé automne hiver 10-11 de Louis Vuitton. Rien de moins que Laetitia Casta, Bar Raphaelli, Karolina Kurkova ou Elle McPherson. Des (anciennes) tops toutes en formes. Ca fait du bien ! A force, on avait oublié que les mannequins ont des seins.
Après les nomades urbaines de cet été, Marc Jacobs remonte le temps, jusqu’au charme rétro des années cinquante. Le créateur de Vuitton imagine des jupes sages et amples, qui arrivent à mi-mollets et gonflent grâce aux jupons. Ses bustieurs sont quant à eux fort décolletés et se construisent à partir d’un corset.
Le sac Speedy, lancé en 1930, est revisité cette saison, dans des versions chics et luxueuses.
En fin de défilé, les belles se parent de somptueuses robes de bal en taffetas.
La femme Hermès de l’hiver prochain a un nom : Emma Peel, personnage du mythique « Chapeau melon et bottes de cuir. C’est la flamboyante rousse Lily Cole (à nouveau une plantureuse sexy sur un podium), qui a ouvert le défilé, plus sexy que jamais dans sa combinaison noire.
Dans cette collection Hermès, on trouve pas mal de pièces piquées au vestiaire masculin (une grande tendance, déjà présente depuis plusieurs saisons) : pardessus, costume trois pièces, chapeau melon, montres gousset… Autre point majeur du défilé : le cuir, une matière intimement liée à l’ADN de la maison. On le retrouve par exemple sur un pantalon croco verni noir ou sur un fourreau sans manches extrêmement souple.
Le directeur artistique de la griffe Jean Paul Gaultier a aussi imaginé des imprimés léopard. Rare, voire inédit chez Hermès, habituée aux teintes unies.
Une collection intégrale de looks sombres, à l’exception touches de beige et d’orange, qui viennent réchauffer l’atmosphère. Retrouvez toutes les photos des défilés sur Catwalk Weekend.
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